Ainsi la trouvait-il quand il arrivait, à l’ombre des chênes où elle s’installait pour le voir franchir les grilles et pénétrer dans la cour, la petite place aux platanes où il prenait l’allée du haut, le chemin de terre et de pierres qui bientôt s’étrécissait jusqu’à devenir l’étroit raidillon sous les arbres