Une fois le Dumas lu d’un couvert à l’autre, nous avons attaqué un George Sand – ce George est une femme, malgré son prénom masculin. Ensuite, j’ai commencé Madame Bovary, un roman qui figurait en tête de liste des ouvrages défendus par notre évêque. À ce moment-là, j’ai trouvé curieux que des livres à l’index se retrouvent dans la maison d’une dame à qui l’on aurait pu donner le bon Dieu sans confession. Des romans dans lesquels déambulaient des amants sans morale ou des assassins qui s’en tiraient blancs comme neige.