On pourrait se demander: mais qu'a donc l'incarcération de masse à voir avec la discrimination positive? Et bien, peut-être les deux sont-elles plus liées que nous ne le pensons. Nous devrions nous demander si nos efforts pour parvenir à une diversité raciale " cosmétique", c'est-à-dire des réformes destinées à rendre les institutions présentables en surface, sans qu'un changement structurel soit nécessaire, n'ont pas en réalité facilité l'émergence de l’incarcération de masse et interféré avec le développement d'une conscience de race plus empreinte de compassions.