cette petite bonne femme contre le navire rappelle la photographie du manifestant solitaire debout devant la colonne de chars place Tian’anmen, cela remonte à un certain temps, c’était en 1989, similaire dans la mesure où il est tout aussi improbable que le Solitaire sorte des eaux pour venir écraser le corps frêle de cette femme qui, enveloppée dans une couverture, regarde depuis l’arrière de la voiture, autre drame ayant la texture pesante et irréfutable de la réalité, cette dangereuse confluence du privé et du politique qui convergent dans le corps de cette faible femme pour en faire le théâtre du conflit, et ce n’est pas la première fois, des histoires comme celle-ci me frappent comme étant typiques de Mayo