Il nous arrivait d’y regarder un film en mangeant des plats thaïs et en rigolant des faux seins d’une actrice. Je l’appelais “la salle Staline”, parce que j’avais lu quelque part que le dictateur possédait un cinéma privé, et Chucks affirmait qu’il ne devait pas être si abominable que ça s’il était cinéphile.