Cette affaire, c'est comme quand on enfonce la main dans un sac sans fond, chaque fois on en extrait quelque miracle, ou bien on touche ou sent quelque chose d'important. Et tant qu'on peut se représenter jusqu'où va la main, ainsi enfoncée dans l'obscurité, le passé vous semble réel et palpable. La confusion surgit seulement quand on ne sait plus très bien jusqu'où est allé ce « voyage », ni même parfois si la main est toujours là…»