Si ça se trouve… ce n'est pas Yûko, mais moi… qu'il aime…
Je suis bête, ou quoi ? Qu'est-ce qui me prend d'imaginer les choses comme ça m'arrange ?
Je n'ai pas de maison, pas d'éducation… J'aurais beau faire tous les efforts du monde, que ce soit au niveau de l'intelligence ou du physique… (...et de mes seins aussi…)… Yûko est bien mieux placée pour devenir la patronne de Daitomé… (p.9-11)