« Un individu désire que le monde lui foute la paix, l’oublie l’espace d’un instant, à l’instar de cet oiseau qui fouille en ce moment dans son plumage sans qu’aucun être vivant ne lui envoie un SMS, ne l’appelle, ne lui envoie de mail, ne le suive sur Facebook, Instagram, Twitter, et qu’il puisse ouvrir un large bec et hurler à la face du monde : « Je vis car j’existe, je furète, fiente, chante, mange, m’endors, copule, et en quoi cela vous regarde? » Si seulement je pouvais goûter un instant pareil, une fraction de seconde de tranquillité… »