En relevant les yeux sur ce qui me bloque le passage, j’aperçois un Jules attendri par ma réaction. Sans attendre, il me serre dans ses bras pour me faire un gros câlin. Ou plutôt, il m’étouffe contre son corps de rugbyman. Je ne mesure qu’un mètre soixante-huit pour cinquante kilos tout mouillés. Autant dire un petit bout de cul pour ce corps immense qui m'enlace.