Les bénévoles découvrent que les démunis ont d'autres besoins que de se nourrir ou de trouver un toit. Ils désirent être écoutés, ils veulent parler avec quelqu'un plutôt que de se retrouver toujours de l'autre côté d'un guichet en situation de quémander. Germain me regarde et me dit que l'aide à l'insertion est tout aussi importante que l'aide alimentaire. Que c'est le lien qui répare.