« La peine que Dieu inflige suppose toujours la faute qui l’a attirée, « Faut-il donc que nous ayons bien péché pour que les loups ne craignent plus l’homme et deviennent fléau divin ? »
Les seules choses qui lui plaisaient se rapportaient exclusivement à sa personne, ne devaient que la concerner. Le monde pouvait aller à vau-l’eau, les guerres éclater, la famine décimer, elle l’ignorait. Elle ne lisait pas à l’exception de quelques revues féminines et les catalogues de voyages, ne s’intéressait à rien de particulier si ce n’était que son confort matériel.