Lui avait toujours l’impression que le feu était vivant, qu’il y avait des lutins qui dansaient à l’intérieur. Tout un petit peuple qui naissait quand on l’allumait et qui mourait avec la dernière braise. Un petit peuple violent et affamé, capable de tout manger sur son passage pour survivre et grandir si on ne l’emprisonnait pas derrière le grillage de la cheminée.