Allais-je expliquer que d'être né Arezki des Aït Ouandlous, fils de mon père (cheveux bruns, nez droit, lèvres minces, pommettes saillantes, yeux noirs et menton rond) le 1er avril 1919 (comme si c'était une naissance pour rire) m'avait d'avance condamné à ne connaître de liberté que celle des autres.