Ainsi, il peut arriver à "l'adulte", emporté par sa petite fille ou son petit garçon intérieur, plutôt parlé et agi que parlant et acteur, de ne pas se reconnaître dans certains de ses choix, comme s'il avait été entraîné, télécommandé par une force étrangère. Saisi, après coup, par le regret et la culpabilité, il se reproche ses "enfantillages" , qu'il peine à expliquer, répétant sans cesse : "Je ne sais pas ce qui m'a pris", ou : "C'était plus fort que moi !".