Il existe une véritable confusion de langue entre violence et éducation, violence et amour, violence et sexualité, désir et érotisation de la haine... A tel point qu'un acte de violence pure peut, par un tour de passe-passe mystificateur, passer pour un acte d'amour [...].
La réalité de la violence des actes est gommée et remplacée par une intentionnalité qui serait bonne pour la victime, déresponsabilisant ainsi l'auteur des violences.