Je me sens comme un animal en cage. Je tourne en rond dans ma chambre sans savoir ce que je peux, ni ce que je veux faire. Il manque des choses dans cette pièce, c’est certain. Il y a bien ce tableau accroché au mur que Nour a peint pour moi. Je regarde longuement cette scène typique d’une médina de Fès où un homme en djellaba assis sur son âne déambule dans une ruelle ombragée parmi les commerçants et autres flâneurs.