Pour l'instant, j'ai trouvé plus acceptable : si aimer, c'est choisir, alors choisir, ce n'est pas renoncer. Ce ne peut être cela. Parce qu'on serait alors coupés de tout, du monde, du désir. On ne serait plus libres. Et accepter ça c'est inconcevable dans ma tête, ça bloque, ça ne passe pas. Et je me bats, je retourne les choses dans ma tête. Moi, je pense que "choisir, c'est résister". La résistance appelle à garder la tête froide, à raisonner, à peser les pour et les contre de chaque situation, à être maître de soi, à être fort.(...)J'ai choisi, je ne renonce pas. (p349)