Ma lecture du monde se résume en quatre verbes : lire, dire, écrire, nommer. (...). On rencontre quelqu'un qu'on lit, avec qui on tente de dire les choses importantes, de raconter sa propre histoire, on s'ajoute alors et on bifurque pour écrire la même histoire, un temps, et par l'amour qui s'écrit, on nomme l'amour, on le crie sur les toits, on le fait rayonner dans le monde entier. (p308-309)