C'est le tort que j'ai eu : il ne faut jamais discuter avec une femme comme elle. Elle finit inévitablement par vous faire douter de votre propre raison.
Quand un couple tient le coup pendant cinq ans, il faut bien croire qu’il existe entre eux un point de concordance ! La glace, ça fond…
Un amour capable de disparaître à la première alerte ne m’intéresse pas. D'ailleurs dans ce cas, il ne s'agit pas d'amour, mais plutôt d'une liaison vide de sens.
J’ai trop besoin de solitude, de liberté. Je ne pourrais pas supporter de vivre complètement avec qui que ce soit. Ça l’a toujours énervé, d’ailleurs. Il déteste que j’aime écouter seule de la musique, rêver, lire sans être obligée de répondre à des questions. Il faudrait que je n’aie de volonté, de goûts que les siens.
Quand on est sensible, il y a des demi-mots, des réactions, des regards qui ne trompent pas et permettent de deviner le calvaire d’une femme délicate aux prises avec un homme bestial… ou simplement trop âgé.
En huit ans, il se produit forcément des moments où, dans une discussion, dans une réflexion dont on ne comprend pas bien le sens, on doute de la parfaite sincérité d'une amie, même aussi parfaite qu'elle.
Franchement cette conversation m’est intolérable. Je déteste taper sur les absents, je déteste la violence. Je déteste encore plus de ne plus me contrôler. Je voudrais oublier toute cette boue.
La plus grosse bêtise que puisse faire une femme, c'est d'épouser un homme qui a plus de trente ans de plus qu'elle, car elle ne peut que se tromper du tout au tout sur sa façon de fonctionner.
Les pires machos ne sont pas forcément ceux qui roulent des mécaniques.
A la place d'une alliée en qui elle s'était imaginé trouver un appui tendre et sûr pendant des années surgissait une femme étrange, inquiétante, à laquelle elle ne comprenait plus rien.