La vérité est comme une couverture qui nous laisse les pieds froids.
(...)
On a beau la tirer à nous dans tous les sens, elle ne nous couvrira jamais entièrement.
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Secouez-la, tiraillez-la, ça ne suffira jamais...
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Du jour où on entre dans le monde, vagissant, (...) à celui où on le quitte, agonisant, on ne peut que s'en couvrir la tête et gémir, pleurer ou hurler !