Sa grand-mère, c’était son Bon Dieu, son nez de clown, son ciel d’étoiles. Et il l’aimait « grand du ciel », comme il lui disait quand il était petit. Il savait que le jour où il la perdrait, il grandirait d’un coup, parce qu’il se sentirait seul dans « son monde », celui qu’elle avait toujours partagé avec lui. Un monde qui flottait au-dessus de la terre, dans une bulle bleue.