Bienheureuse en effet, celle qui a eu faim, soif, celle que l'on a fait souffrir, bienheureuse, oui, celle qui a crevé et caché son tourment, ses larmes, sa douleur pour éviter à autrui certains désagréments.(...)Car, si vous voulez le savoir, notre jeune dame ne devrait pas être pleurée comme vous le faites, mécréants ! Vous devriez danser au pied de sa couche. Car, au lieu de se protéger, elle a œuvré à disparaître. (p151)