...après seulement, on envoyait les charognards, les faux justiciers, les faiseurs de mythes, les moines, après que l’esprit fut rendu fou, l’âme abîmée, la vie gâchée, le corps légendée, la couleur passée, après le décrépissage et l’impitoyable décapage. On chantait le martyre. On fabriquait le mythe.