Roman policier des années 50 qui a mal vieilli à cause de la façon de l'auteure de mener l'intrigue. Elle a tellement peur de perdre le lecteur en route qu'il n'y a plus aucune surprise. Tout est mâché et remâché avec tant d'acharnement qu'il ne reste rien du suspense. Et que dire d'un roman policier sans suspense si ce n'est qu'il ressemble à un couteau sans lame.
Finalement c'est l'illustration de couverture du livre qui est la plus réussie avec la traduction de Maurice-Bernard Endrèbe.
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