On refuse de quitter celui qui nous fait du mal même si on a ouvert les yeux sur notre propre détresse et la gravité de ce que l’autre nous fait vivre, parce qu’il détient une partie de notre énergie, une partie de notre âme. Partir, c’est quitter une partie de soi-même et c’est au-delà de nos forces. Ignorant que ce processus est à l’œuvre, l’entourage nous traite de faible sans réaliser que s’abandonner soi-même est inconcevable.