Si l'on continue à travailler sur l'Art Brut, c'est parce que ce concept réclame toujours une vigilance critique qui permet de lui conserver une force active. Et c'est dans cette fragilité que je perçois le lien avec l'art contemporain, victime d'un rejet que Nathalie Heinich a soigneusement analysé.
Le "brut" à l'épreuve du "contemporain", Céline Delavaux