Avec le vide sous les pieds, le froid qui monte et la lumière qui baisse, sans l’amant, pourtant gros et grand, inexplicablement disparu dans cette chute verticale de l’année, j’en suis réduite à lire des ouvrages sur l’hibernation des marmottes et la dormance des arbres. Laquelle est plus difficile à imiter mais très belle, si tu songes aux bourgeons qui contiennent déjà toutes les fleurs et les feuilles du printemps en miniature.