Ce n’était pas le hasard qui l’avait conduite ici. C’était sans doute son instinct de survie. Elle connaissait bien le quartier. Elle y était venue très souvent, des années auparavant. Fouillant ses poches, elle se rendit compte qu’elle n’avait plus rien sur elle. Ni papiers, ni clés, ni argent. Elle était à la rue. Anonyme. Solitaire.