Dès le départ, c'était comme s'ils avaient été les deux moitiés d'un tout et qu'ils se complétaient. Yuki avait besoin de Mafuyu, et Mafuyu avait besoin de Yuki. C'est l'impression qu'ils finissaient par donner. [...] Ils s'attiraient comme deux aimants. Dans leur petit paradis, ils n'avaient besoin de rien.