Lorsque Christopher entra dans l'open space de la rédaction du journal, il eut l'impression que les Norvégiens étaient définitivement plus matinaux que les Français. Il était tout juste 9 heures du matin, et il y régnait déjà une agitation bourdonnante de fin de journée, comme si tous les journalistes s'empressaient de terminer leur papier avant le bouclage.