On l'a vu, les « reconstituants » et autres remèdes empiriques - souvent mal maîtrisés et mal dosés - font, hélas, déjà partie intégrante de la pharmacopée du peloton... Leurs effets peuvent être désastreux et, outre le comportement soudainement halluciné de certains, il n'est pas rare de croiser, sur le bas-côté, un malheureux étendu les bras en croix... Mais qui oserait prétendre couvrir les 4735 kilomètres de cette folle épopée par la seule force de la volonté ?