Tout ça me replonge a chaque fois dans Romanze, dans cette lumière de fin d'après-midi dans le square, dans l'exceptionnelle douceur de ce début septembre, dans la pénombre de sa chambre d'étudiante fenêtrés ouvertes, a nos ombres sur le lit dans la nuit, tout ça me renvoie sans cesse au visage et au sourire d'Alice. Et ces images sont pour moi autant un refuge qu'elle attisent une terrible sensation d'absence, un peu comme une drogue délicieuse, mais aux effets trop évanescents et a la descente sévère.