[...]comme l'avait compris Platon, pour toucher le plus grand nombre, rien n'est plus efficace que de frapper l'imagination par un scénario catastrophe.
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Quand on cherche à faire peur pour emporter l'adhésion, on sous-estime implicitement la capacité de raisonner. Il faut donc vérifier que la peur provoquée n'est pas là pour cacher un déficit dans l'argumentaire.