Les paysans sont pauvres. Obligés de vendre leurs récoltes avant la moisson, ils doivent parfois verser à leurs usuriers un intérêt de 40 o/o.Quand ils labourent ils font penser à la Bible (...)
Les poètes ont chanté la gloire des guerriers qui pillaient les récoltes. Il y eut beaucoup de révolutions au nom d'Allah, mais jamais de révoltes agraires. (p.14)