Agatha Mallowan, la femme heureuse d’un archéologue orientaliste
Comme quelques autres, Agatha Christie peut dire : « J’aime les trains. » Ils sont d’ailleurs empruntés par bon nombre de ses personnages pour des parcours plus ou moins longs. Mais quand elle embarque en 1930, puis à
nouveau en 1931, dans l’Orient-Express, elle a pour destination Bagdad et les champs de fouilles des alentours, et non Torquay ou Nice.