"- Je crois que je t'aime Aaron, je lui avoue du bout des lèvres, la voix chevrotante.
- Pourquoi c'est de la peur que je décèle ? observe-t-il.
- Parce que ça l'est. J'ai peur d'aimer quelqu'un, mais j'ai aussi peur que ce...
- Ne soit pas partagé ? intervient-il doucement en voyant ma difficulté à prononcer la fin de ma phrase. Tu sais quoi mon cœur ? Je crois que je t'aime aussi."