Lorsqu'une heure plus tard, elle monta sur la terrasse, elle fut tellement subjuguée par la vue qu'elle en eut le souffle coupé. Devant elle s'élevaient les fameuses arènes de Vérone, éclairées par des spots qui mettaient en valeur leurs vieux murs de pierre. [...] Ici, dans la ville des deux amants malheureux, elle ressentait un mélange de tristesse et d'espoir. Tristesse de n'avoir pas pu vivre pleinement leur belle histoire, qui n'avait duré qu'un infime instant. Espoir que tout cela serait bientôt terminé.