Je choisis l’absence, la fenêtre.
Je prends soin.
Je fourbis mes faiblesses quand
l’herbe drue, la terre dure
s’illuminent et se retirent
n’invitent personne.
S’allonger ventre en contact
où je ne laisserai pas d’empreinte.
Que mes yeux s’écoulent aux collines
aux nuages rapides
que mes paumes s’écorchent aux racines.
…