Thérèse dénoue ainsi le rapport de proportionnalité que l’on met trop souvent entre la faute et son expiation. C’est là un de ses apports à la théologie moderne. Si rapport il y a, il est à mettre avec Celui que nos fautes affectent, si proche de nous dans sa miséricorde. Il faut donc se confier totalement au cœur miséricordieux de Dieu. Bien plus, il faut se voir dans son propre regard, pour ne vivre, jusque dans ses pauvretés, que de son amour.