Eve ne s’intéressait guère aux progrès de la médecine. Elle éprouvait une antipathie viscérale à l’égard des docteurs. Elle savait néanmoins que les gens très riches dédaignaient les produits manufacturés. Quand ils avaient besoin d’un greffon, ils préféraient acheter à prix d’or le cœur ou les reins d’un jeune accidenté de la route.