Je lui caresse tendrement la joue, de la pommette jusqu'à la courbe pincée de sa bouche gourmande, avant de descendre vers son cou, sa clavicule, et plus bas. Ma main glisse sous le drap blanc, effleure l'un de ses seins et continue son chemin jusqu'à se poser à plat sur son cœur.
Son cœur qui – j'en suis sûr désormais – ne bat plus que pour moi.
— Je t'aime, Niña.