Interviewée le matin même dans le Figaro, Bianca Serraggio n'avait pas hésité à mettre en doute la culpabilité du Tricoteur dans le meurtre de la vieille soyeuse aveugle, études à l'appui, Kolvair avait remarqué puis lu l'article car le titre "le sang d'un bistanclaque" l'avait largement intrigué.
Poétique, quoique surréaliste, voilà ce qu'il en avait pensé.