Pour développer leurs conceptions politiques et surtout du politique, les intellectuels utilisent la fiction : le roman.
« Si leur représentation romanesque du politique perpétue l’exclusion des femmes dans ce champ d’activité, c’est en toute ingénuité, et par ainsi dire par contrecoup : Le souci premier de ces romanciers est celui des hommes. Du masculin ; du masculin et du politique, terrain où un individu peut affirmer sa masculinité. »