Lorsqu'on avance en âge, il arrive quelques fois que l'on prie le Destin en disant : Frappe-nous tant que tu veux, porte-nous les coups les plus durs ; mais par pitié ne nous fais pas souffrir comme nous avons souffert quand nous étions enfants.
Car l'immense solitude et l'immense ignorance de l'enfance déchirent l'âme comme la pire des flèches.