La victime, d'un autre côté, et on l'oublie souvent, est la plus importante. Elle est le produit dérivé de la jalousie, de la fureur ou des obsessions du criminel, et elle est souvent éclipsée, avec les preuves et les éléments qu'elle détient, au profit du tueur et de son ombre maléfique. Le plus souvent, la question n'est pas de savoir qui a commis un crime mais quel type de personne en est devenue la victime.