Un romancier réel ou virtuel a toujours le choix du dénouement heureux, d'un clair de lune secourable ou d'une étoile filante présidentielle. Mais les poussières de quota, elles, n'auront jamais d'autre espoir que d'aller de jour en jour, de peur en peur, de survie en survie.
Jusqu'à la vraie rafle, celle du dernier petit matin, celle que l'on n'a pas su deviner, celle que vous n'aurez pas su dénoncer.