Quand vous avez goûté à ce plaisir (peindre), ne serait-ce qu’une seule fois, vous avez envie de le retrouver. Vous ne peignez plus pour faire un beau tableau, mais parce que c’est un moment merveilleux, un temps rare (…) Il y a cette gourmandise de la matière, des couleurs, cette sensation de la pâte qui s’étale sous l’instrument.