Le fait saillant, « nouveauté » peut-être toute relative (cf. Porquières, supra), réside dans l’importance des salines montpelliéraines, documentées depuis la fin du Xe siècle. Géographiquement elles s’échelonnent sur la côte depuis le site épiscopal paléochrétien de Maguelone, à l’Ouest, et les étangs de Mauguio, à l’Est, par une transition insensible vers les salins de la petite Camargue d’Aigues Mortes (par exemple ceux de Peccaïs attestés depuis le IXe s. en lien avec l’abbaye paléochrétienne de Psalmodi).