Les femmes du fait des contraintes biologiques qu'elles doivent assumer, sont familiarisées précocement avec le corps médical et décveloppent naturellement une attidude préventive vis à vis de leur santé.
La participation psychologique à ce phénomène est tout aussi importante. On constate ainsi, lorsqu'une maladie ou un accident graves frappent durement un individu, que les femmes vont s'accrocher plus à la vie que les hommes. Elles seront dans ensemble le plus combatives et moins résignées.
Par ailleurs, les réseaux affectifs qu'elles tissent, nettement plus spontanément, dans leur famille ou au sein de leur entourage social, vont contribuer à amortir plus efficacement les à-coups existentiels p 37.