[…] « La fille présente à ses parents le premier fiancé : il s’appelle Mahmoud ; six mois après, elle présente le deuxième fiancé, Abdelkrim, puis un jour, elle annonce à sa famille : je ne viens plus à la maison parce que je vis avec Robert… Et là, il y a un hic ! » Mohammed exprime à travers ce « hic », le décalage entre les temporalités du migrant et celle du pays d’accueil (p.99).